Le bonheur n’est pas une question de devenir, mais une question de décision… Pour dire que j’existe, il est bon que je vis, il est bon que je puisse voir ces choses agréables, il faut d’abord décider. Une personne peut être heureuse simplement en prenant une décision dans un endroit où elle sait que tout se terminera à la fin…
A certaines périodes, nous pouvons nous comporter comme un créancier de la vie, il ne faut pas oublier que la vie ne cherche pas à nous plaire. La personne qui entrera dans cet effort et cette recherche n’est pas l’autre personne de nous.
A ce propos, nous retrouvons l’exemple le plus profond dans la nature : le soleil se lève tous les jours et la lune sort toutes les nuits, mais nous savons que ce n’est pas pour nous ! Que nous voulions naître ou arrêter, que nous le voulions ou non, que nous soyons satisfaits ou non, tout continuera comme il le sait par habitude. Ensuite, vous déciderez…
EST-IL SI FACILE DE PRENDRE CETTE DÉCISION ?
La satisfaction est une notion relative…
La satisfaction, vraisemblablement, peut être de demander autre chose que ce qui existe, ou d’attendre que les lacunes de l’existant soient rapidement comblées et deviennent adaptées à nos souhaits. En fait, presque tout manque dans la vie. Alors que le premier choix peut être de courir après ce qui n’est pas et de ne pas voir ce qui est, ou de grogner et de se lamenter, le choix conscient l’est ; réaliser cette vérité le plus tôt possible et rechercher la satisfaction de ceux qui existent et de nos potentiels.
Bien qu’il n’y ait pas de formule claire pour le bonheur; Il y a un cycle agréable entre la recherche de soi, la capacité de trouver l’essence en soi et le partage de ce qui se trouve de la manière la plus réelle. Bien qu’il soit difficile de sortir des zones de confort, les coûts de développement et de satisfaction sont des concepts qui doivent être payés dans une large mesure. Ce que l’on entend par coût est en réalité étroitement lié à votre temps, aux investissements matériels et moraux que vous faites en vous-même, à vos contacts avec votre entourage, à votre statut de chercheur et de développeur. L’esprit individuel qui regarde le monde avec votre état malheureux peut être aveugle au bonheur.
Vous serez plus susceptible de voir la zone dans laquelle vous vous trouvez sans changer l’angle sous lequel vous regardez, la fenêtre.
Des situations telles que créer des routines de la vie quotidienne, nourrir l’esprit (rechercher, lire, écrire, dessiner, raconter, regarder…), nourrir le corps (sport, entraînement, exercices de respiration, alimentation régulière-saine…), le changement d’environnement social peuvent enrichir et nourrir votre regard sur la vie. .
Il ne faut pas l’oublier ; Le plus gros investissement qu’une personne puisse faire est en lui-même. Le plaisir est un choix, les choix impliquent souvent le renoncement. Vivre en dehors du système pessimiste auquel on est habitué est possible d’abord avec la pensée puis avec l’action de la personne.
Avec amour…