Comment les familles peuvent-elles aider leurs enfants à se faire dépister ?
Dans ma chronique précédente, j’ai essayé de faire comprendre comment la peur du test se développe et quel est le processus de base. Aujourd’hui, j’aimerais parler de certaines compétences de base pour les familles de jeunes qui luttent contre cette peur. Le processus de préparation à l’examen dans les familles n’est pas du tout facile. Des dizaines de questions occupent l’esprit des familles, comme savoir si les informations que leurs enfants reçoivent à l’école ou en formation suffiront, s’ils travaillent correctement ou s’ils échouent le jour de l’examen. Si nous ne savons pas comment gérer notre anxiété, nous pouvons transmettre cette anxiété à notre enfant. Par conséquent, nous devons être prudents dans les messages que nous donnons.
L’un des renversements les plus courants est que les familles font des offres rapides pour réduire ce sentiment face à l’impulsivité. Ne vous inquiétez pas, je suis sûr que vous le ferez, vous êtes debout, ils envoient des messages rapides pour vous reposer car nous savons que vous viendrez aux bons endroits. En fait, c’est l’un des principaux inconvénients de la communication. Tout d’abord, la première étape devrait être d’écouter et d’essayer de comprendre les commentaires et les pensées qui composent ce sentiment. Le sentiment appartient à notre enfant, et nous n’avons pas la force de le réduire rapidement. Placer nos définitions aussi loin que nous pouvons percevoir après avoir écouté correctement créera un sentiment de compréhension.Parfois, même cette écoute empathique seule suffit. Si nous voulons être plus utiles, il peut être utile d’évaluer ses commentaires sur l’examen de manière réaliste et de trouver ses erreurs intentionnelles sans que nous nous en rendions compte. Par exemple, il peut être utile de préciser que la préparation aux examens ne se passe pas toujours bien, que les fluctuations sont normales, que ses problèmes vont le motiver, que les erreurs commises sont un outil d’apprentissage, que l’examen n’est qu’une opportunité, et que ces opportunités viendra plusieurs fois dans une vie. Autrement dit, il ne faut pas oublier que l’anxiété élève notre enfant et nous. rester bien..