Les embryons sont insérés dans l’utérus avec un cathéter fin à travers le col de l’utérus. À la suite de ces processus, une grossesse survient chez environ 50% des femmes. Cependant, certaines de ces grossesses se terminent par une fausse couche. Environ 40 % des couples en traitement ont des enfants par traitement. Ce taux peut atteindre 70 à 80% suite à de nombreuses candidatures. Les 20 à 30 % restants ne peuvent pas avoir d’enfants aujourd’hui, malgré toutes les possibilités de la médecine moderne.
Les ovaires de la femme sont stimulés avec divers médicaments (Gonal-F, Puregon, Menogon) dans les voies de FIV. Le but de la stimulation des ovaires est d’obtenir un grand nombre d’ovules candidats à la formation d’embryons. Il a été démontré que le placement d’un grand nombre d’embryons dans l’utérus (transfert d’embryons) augmente les chances de grossesse (les taux de grossesse sont d’environ 10 % lorsqu’un embryon est placé, de 40 à 50 % lorsque trois embryons sont placés).
Informations générales sur la FIV
La fécondation in vitro est une forme de traitement appliquée aux femmes qui ne peuvent pas devenir enceintes avec des procédures classiques. Elle est basée sur le transfert d’embryons dans l’utérus, qui sont formés à la suite de la combinaison de cellules de descendance mâles (spermatozoïdes) et femelles (ovules). dans des conditions de laboratoire. La fécondation réalisée dans des conditions de laboratoire est réalisée naturellement (fécondation in vitro) ou à la main humaine, en injectant un seul spermatozoïde dans un seul ovule (microinjection).
La fécondation in vitro a commencé à être appliquée aux femmes qui avaient des dommages permanents à leurs trompes à la suite d’une infection ou d’un processus chirurgical, et après une courte période, elle est devenue utilisée dans le traitement d’autres causes qui conduisent à l’infertilité. Aujourd’hui, des résultats positifs sont obtenus avec les procédures de fécondation in vitro dans les cas d’endométriose, d’infertilité inexpliquée et d’infertilité masculine.
La micro-injection, qui a été appliquée surtout ces dernières années, est considérée comme une révolution dans le traitement des hommes qui ont du sperme dans les testicules, même si le nombre de spermatozoïdes est très faible et qu’il n’y a pas de spermatozoïdes dans leur sperme.