Que sont les Manies de Communication ?
La connexion entre les enfants et les parents peut parfois être pleine de rudesse qui force une connexion saine. Pour donner quelques exemples;
1. Sentences de commandement fréquentes ;
Essayons d’attraper les phrases de commandement que nous avons formées en passant en revue nos vies. « Lève-toi, lave-toi le visage, finis ton lait, brosse-toi les dents, ne parle pas la bouche pleine, finis tes devoirs, éteins la télé, n’élève pas la voix quand tu parles à tes aînés, écoute ton professeur …… » Ce ne sera pas un problème pour nous d’attraper les mots de commande étendus tels que C’est presque comme le « baisse ! – lève-toi ! – rampe ! » que nous connaissons tous à propos de l’entraînement militaire. Nous pouvons devenir des humains qui donnent toujours des ordres selon le modèle. Il s’avère que puisque l’obéissance dans l’armée est d’une importance vitale, le soldat ne doit pas changer de comportement tant que l’ordre de se lever ne vient pas après l’ordre de se coucher. Eh bien, comme si ce que nous voulions, c’était transformer notre logement en camp militaire et créer des soldats réguliers ? Ce n’est pas habituel. Nous devons aider nos enfants à réfléchir et à trouver ce qui leur est nécessaire, et non à faire ce qu’on leur dit par anxiété.
2. Discours intimidant ;
« Si tu ne termines pas tes études, tu ne reçois pas d’argent », » Oublie la télé si tu n’arrives pas à finir tes devoirs « « Si tu ne bois pas ton lait, tu seras un nain », « si vous vous promenez sans pantoufles vous tomberez malade » comme. Parfois, nous pouvons le conditionner à mettre fin à un comportement pour nous faciliter la tâche, ou nous pouvons lui faire adopter le comportement que nous souhaitons en l’intimidant. Même si nous ne voulons pas qu’il regarde la télévision, nous pouvons la rendre plus attrayante en en faisant une règle. Elle peut aussi créer de l’anxiété, de la soumission, des comportements d’obéissance ou encore déclencher l’envie « d’essayer ». Cela peut provoquer des sentiments de ressentiment, de ressentiment, de colère et d’hostilité.
3. Toujours donner des conseils, apporter des offres de test ;
Nous pouvons faire des phrases telles que « Je travaillerais avec un plan si j’étais toi », « Tu grandiras quand tu auras fini ton lait », « Écoute, laisse-moi te faire une offre » et nous croyons que cette façon de parler est très utile. Tout d’abord, ce à quoi nous devons penser, c’est de répondre à la question comme si j’avais besoin de ce que nous disons, puis d’observer que les conseils et l’aide non sollicités ne sont d’aucune utilité. Sinon, cette approche peut créer des enfants dépendants de leurs parents. De plus, il ne contribuera pas à la création de ses propres chemins d’analyse.
4. Juger, critiquer fréquemment ;
« Vous êtes en fait une personne paresseuse », « Je serais surpris si vous avez déjà réussi », « Vous ne pouvez toujours pas terminer » Faire des phrases comme celles-ci peut provoquer des sentiments inadéquats et stupides. Cela peut amener l’enfant à se déconnecter de la peur d’être la cible d’un jugement négatif ou d’être réprimandé, ou l’enfant peut percevoir les jugements et les critiques comme réels (Je suis mauvais!)ou répondre 0(Tu n’es pas plus parfait non plus !).
Ces messages ont un impact plus négatif sur l’enfant que d’autres. Ces évaluations diminuent l’estime de soi de l’enfant. Les évaluations négatives sur les enfants amènent l’enfant à se considérer comme sans valeur et inadéquat.
5. Toujours louer l’enfant
Si l’enfant exécute le comportement souhaité, l’enfant peut être félicité dans n’importe quel environnement inapproprié. « Très bien…….. », « Je pense que vous faites un excellent travail…. « Dans ce cas, l’enfant peut penser que les attentes de la famille sont trop élevées, ou il peut se sentir bousculé.
En règle générale, on ne pense pas que cette situation nuira à l’enfant. Faire des évaluations qui ne correspondent pas à la perception de soi de l’enfant crée de la colère chez l’enfant. Les enfants interprètent ces messages comme une ruse pour la tentative des parents de les diriger et de réaliser leurs souhaits. Quand tu le dis comme ça, suis-je censé travailler plus dur ? ils peuvent réfléchir. De plus, si des éloges sont donnés devant les autres, cela peut embarrasser l’enfant ou, à la suite de trop d’éloges, l’enfant s’y habitue et commence à avoir besoin d’éloges.
6. Injures, moqueries :
« Grand bébé…. », « Allez Superman », « Idiot », « Allez, les yeux larmoyants », Faire des phrases comme celles-ci ne permet pas à l’enfant de se sentir utile à son développement. Cela peut conduire à la formation de l’impression qu’il n’est pas aimé et cela peut avoir des effets négatifs sur son développement personnel. Dire les mots à dire à l’amant, comme « mon amour, mon amant », peut entraîner des difficultés à déterminer la fin de sa relation avec la mère ou le père et à former des normes sexuelles.
7. Toujours poser des questions, tester, questionner : 0
« Pourquoi ?….Qui ?…..Qu’avez-vous fait ?……Comment ?….. »
Étant donné que répondre aux questions amène souvent des critiques ou des analyses convaincantes, les enfants ont souvent tendance à dire non, à répondre à moitié correctement, à s’enfuir ou à dire des conneries.
L’enfant peut devenir anxieux et inquiet, car les questions n’expliquent souvent pas où le questionneur veut en venir.
L’enfant, qui essaie de répondre aux questions nées des préoccupations de la famille, peut passer à côté de son propre problème.
Lorsque l’enfant se sent interrogé, cela crée en lui de l’insécurité et du doute.