La prise de conscience est une pratique bouddhiste extrêmement ancienne et est essentiellement une technique de vie consciente (Özbeyaz et al., 2011). La prise de conscience peut être définie comme une idée, la capacité d’une personne à se concentrer de manière critique et tolérante sur ce qui se passe maintenant, et à l’accepter tel qu’il est (Özyeni et al., 2011 ; Çelik & Çetin, 2014 ; Brown & Ryan, 2003). La prise de conscience est un niveau élevé de familiarité avec soi-même, la société et les autres. Tout est considéré comme une conscience consciente; en faisant attention, en prenant soin de lui et de l’environnement général, il continue sa vie (Demir, 2014 ; McKee, Johnston, & Massimilian, 2006).
Le point de départ du terme BF est le mot sati, qui est une langue bouddhiste vieille de 2500 ans. Le sens du mot est rappel, attention et prise de conscience (Germer, 2004). Le sens du mot sati est de se souvenir, mais plutôt le sens de l’existence de l’esprit peut être utilisé (Özbebek et al., 2011).
Dans un test mené auprès de 65 étudiants universitaires, Weinstein et al. (2009) ont constaté que les personnes ayant une conscience élevée de la pleine conscience utilisaient des stratégies de pensée plus critique et s’harmonisaient mieux avec la tension (ÖzGirl et al., 2011). Il a été affirmé que les pratiques cognitives basées sur la conscience augmentent, développent et soulagent la conscience de facteurs de tension imaginables (Demir, 2014 ; Bishop et al., 2004). Dans une étude de Roemer et al., (2009), il a été observé que 395 étudiants universitaires et étudiants souffrant d’un trouble anxieux général lié à la tristesse et à l’agitation avaient des niveaux de conscience cognitive plus faibles dans le groupe témoin des études (Özgreen, 2011).
Se souvenir ne signifie pas vivre avec des souvenirs. Tolérer les souvenirs signifie que l’intention concernant les compétitions en cours doit être dirigée à nouveau (Özgreen, 2011). La prise de conscience et la conscience sont l’état d’être conscient des événements que nous vivons et de leurs significations, mieux connus sous le nom de pleine conscience (Brown & Ryan, 2003). La prise de conscience est une méthode de base pour décrire ce que nous vivons avec toutes les compétitions qui minimisent la tension et prennent des mesures pour un changement individuel (Siegel et al., 2009). Comme l’affirme Kabat-Zinn (2012), il s’agit d’évaluer délibérément le moment présent sans jugement.
« Se souvenir », qui fait partie de cette recette, ne signifie pas vivre avec des souvenirs. Tolérer les souvenirs signifie que l’intention concernant les compétitions en cours doit être dirigée à nouveau (Özgreen, 2011). La prise de conscience est une formule de base pour s’identifier à toutes les compétitions en prenant des mesures de changement qui réduisent la douleur et rendent l’individu (Siegel et al., 2009). Comme l’affirme Kabat-Zinn (2012), il s’agit d’évaluer délibérément le moment présent sans jugement.
La prise de conscience se compose de trois éléments (Hyland et al., 2015). Le premier est la conscience, qui est déterminée à se concentrer sur le présent (Dane, 2011). La composante suivante est l’attention, à la fois externe et interne (Brown & Ryan, 2003). La troisième partie est la confirmation avec clarté. Ainsi, en disant « oui » au moment présent, une porte ouverte s’ouvrira pour que la personne perçoive les sentiments qu’elle va émettre (Liebermeister, 2009). Il est rappelé que les pratiques de prise de conscience qui viennent du premier point de départ de la pratique ne sont pas liées à essayer d’obtenir une place et des choses qui se développent (Kabat-Zinn, 2003).
Il a répertorié les attitudes de pleine conscience en 7 parties fondamentales (Kabat-Zinn, 2009b).
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Patience: La tolérance est un développement où tout est volontairement à l’heure. Créer de la tolérance renforce la prise de conscience. L’essence de ceux qui veulent s’améliorer est la patience et en agissant en conséquence, des pratiques de sensibilisation sont appliquées. La patience signifie accepter chaque image instantanée d’être dans chaque situation avec transparence et réaliser qu’il y a un temps pour tout.
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Non-jugement : Quand on voit les progrès du cerveau, on voit que les compétitions sont soumises à une évaluation constante, apportant un jugement et une réaction ininterrompus dans les compétitions internes et externes. Il suffit de voir cet état d’esprit et de voir à quel point il est bon ou mauvais, positif ou négatif, parfait ou dégoûtant, sans essayer de l’arrêter.
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Confiance : C’est la croyance qu’une demande raisonnable créera dans une structure de cohérence. Cet état demande à la personne de tolérer tout ce qui lui passe par la tête pendant toute la période, d’être acceptée et d’avoir confiance.
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Le début de l’esprit : Lorsque l’esprit rencontre des expériences pour la première fois, il s’agit d’une approche ciblée et consciente. Être conscient en premier lieu permet de saisir plus facilement de nouvelles choses et de voir ce qui se passe. Tout d’abord, être dans votre esprit montre la richesse qui existe en tant qu’autre chose, plutôt que des hypothèses sur nos circonstances passées.
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Ne soyez pas cupide : les actions de Bf sont l’état d’être honnête. « C’est accepter les choses telles qu’elles sont sans chercher à transformer quoi que ce soit. Les humains feront presque n’importe quoi pour réaliser quelque chose. Dans les attitudes de pleine conscience, cette attitude représente un blocage. Au point où vous cessez d’avoir besoin de quelque chose d’autre que ce qui est actuellement prévu, sa réalisation s’intensifie. L’effort peut être laissé à lui-même.
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Acceptation : C’est un état qui nous permet de contrôler les troubles résultant du fait de ne pas accepter ou de négliger les sentiments et les idées tels que l’agitation, les ennuis, la finitude, la souffrance (Özseşil, 2011). L’approche la plus appropriée pour gérer de telles situations est d’admettre que vous êtes coincé avec quelque chose qui se tient debout sans but et obstinément.
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Lâcher prise : lâcher prise, c’est abandonner une opinion, quels que soient les sentiments, les sentiments ou les désirs. C’est être indépendant des objets et leur permettre d’être ce qu’ils sont. S’accrocher à des expériences intéressantes et agréables, ignorer ou rejeter les indésirables sont des réactions de pilote automatique.