Les médias sociaux sont progressivement devenus l’une des unités les plus précieuses dans la vie des gens. Lorsque seule l’utilisation de Facebook est évaluée, nous constatons que plus d’un milliard d’utilisateurs de Facebook partagent environ 90 informations sur leurs comptes Facebook chaque mois (Facebook, 2012). En plus d’accéder à toutes ces informations, Facebook fournit également un environnement permettant aux individus de suivre les activités et les mouvements de chacun, y compris les partenaires romantiques. Bien qu’ils se suivent dans les communications et se demandent où se trouve un partenaire et avec qui il est généralement perçu négativement, Utz et Beukeboom (2011) soutiennent que suivre les mouvements d’un partenaire sur Facebook est devenu socialement plus acceptable parce que l’information trouvée est partagée publiquement et que le partenaire l’a fait. cela, Elle a déclaré que ses partisans ne sont plus considérés comme un problème à croire en la bienveillance. Outre le côté utile de cette situation, le fait qu’un accès très immédiat et rapide à des informations sur un partenaire puisse avoir des conséquences aussi négatives que la jalousie est au cœur des enjeux abordés (Muise, Christofides, Desmarais, 2014). On dit que l’utilisation de Facebook provoque la jalousie car les partenaires peuvent surveiller les activités de l’autre sur Facebook et voir leurs interactions avec les autres (Muise, Christofides, Desmarais, 2009). Au milieu des résultats d’études scientifiques, la jalousie Facebook se fait plus sentir chez les femmes que chez les hommes, les femmes suivant les pages de leurs partenaires et les questionnant davantage. (Muise, Christofides, Desmarais, 2014). Alors que l’utilisation des médias sociaux, en particulier Facebook, suscite la jalousie dans les liens, nous voyons qu’une autre variable précieuse associée à la jalousie est «l’attachement». Que les individus se lient avec ou sans foi est lié au sentiment de jalousie qu’ils ressentent dans leurs liens (Hazan & Shaver, 1987; Knobloch, Solomon, & Cruz, 2001). À mi-chemin des résultats actuels, le suivi des mouvements d’un partenaire sur Facebook est surtout observé chez les individus ayant un attachement incrédule (Marshall et al., 2012).
Chaque fois que nous parlons à mes clients ou aux étudiants à qui j’enseigne, j’entends souvent dire qu’ils ne trouvent pas sain de suivre des liens sur les réseaux sociaux. Cependant, il faut admettre, en fait, que les aspects positifs ou négatifs des connexions testées dans ce cas doivent être discutés dans l’intérêt individuel de chaque intérêt. Il est nécessaire de préserver l’unicité de chaque intérêt. Oui, les réseaux sociaux, notamment Facebook, nous permettent d’exprimer beaucoup de nos sentiments, réels ou virtuels, de partager des photos avec notre amoureux/femme, de vouloir que les autres voient que nous sommes très heureux, de rencontrer quelqu’un, parfois de l’utiliser. Comme un système de défense pour couvrir les parties touchées, parfois pour suivre notre partenaire. Lorsque nous voyons ces messages, nous les trouvons idiots et faisons des commentaires, mais comme je l’ai dit plus haut, nous devons regarder chaque personne et chaque intérêt, chaque émotion que les médias sociaux suscitent, dans la réalité des individus et des relations, à la lumière des points ils élèvent…
C’est pourquoi, avant de juger – il faut regarder la dynamique que nous et les autres opérons 😉
l’amour…